My loneliness needs loveliness

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décembre 2012

Retour au bercail éméché

Lyse m'a relancé est finalement je suis sorti ce soir. Je craignais de n'avoir rien à dire et d'être désagréable à cause de ses derniers mois passés isolé, mais finalement non, j'étais normal. Une bien moins bonne résistance à l'alcool en revanche. Juste trois verres de bière et j'étais à ma limite. Avant de rentrer j'ai remarqué que mes lunettes étaient sur le point de lâcher, la réparation de fortune avec le scotch ne tenait plus et le verre gauche menaçait de choir d'une seconde à l'autre, j'ai donc remis mes lunettes dans ma poche et j'ai enfourché mon vélo dans un (...)

Qu'il en soit ainsi

Je viens encore de rêver d’Émilie. Je pensais que c'était fini tout ces rêves. C'est fou. Ça fait pourtant six mois qu'on ne se voit plus. Celui-ci n'était pas tout à fait comme les autres. Elle me passait un coup de fil pour me donner rendez-vous en ville. On se voyait, dans le normal, dans un genre de bar mitoyen à ce qui ressemblait à une bibliothèque ou une université, qui appartenait manifestement à une grande résidence. On se parlait normalement, puis à un moment nos mains se touchaient et elle comprenait à mon regard combien j'étais resté amoureux d'elle. Elle (...)

Songe interminable

J'ai voulu faire une sieste vers 10h du matin. Le petit blanc n'arrêtait pas de ronronner. Tout habillé sous la couette, j'avais baissé le chauffage et la température à chuté. J'espérai dormir une heure ou deux. Je suis aussitôt rentré dans une succession interminable de songes. Plus moyen de me lever, à chaque fois que j'ouvrais les yeux je voulais y retourner aussitôt. J'ai fini par me lever à 10h du soir. Il faisait 14 degrés dans la maison. J'ai aussitôt remonté le chauffage. Après chaque réveil je me remémorais autant que possible le rêve que j'avais eu et cela (...)