My loneliness needs loveliness

My sad loving kept me dreaming, my nice liking kept me happy

Cette sortie à l’aquarium s’est tellement bien passé, l’impression qu’on était des enfants dans des corps d’adultes, assis sur le petit muret à discuter de tout et de rien en regardant passer les gens, dans la grande roue à prendre des photos et scruter l’horizon, manger assis dans l’herbe, neuf adultes aux ages divers de vingt huit a cinquante huit ans, chacun son caractères, ses habitudes, ses préférences, mon sourire revenait facilement quand il se plongeait dans le tient, les petits moments qu’on a passé à boire un café dans le bar, à trainer dans la boutique de souvenir et a déambuler à travers la cohue étaient les meilleurs. Je sent bien que j’aimerais aller plus vers toi, et toi aussi, mais je pense qu’on est juste bien comme ça et qu’il faut rien précipiter, l’amitié est tellement précieuse. Sur le chemin du retour en voiture, la fatigue a eu raison de moi et je me suis endormi enroulé dans son foulard, au moment ou mon rêve me redonnait la plus belle chose au monde que je n’ose plus espérer : l’entendre me dire "ok, on se voit demain matin, on verra bien ce que ça donne", je me suis réveillé d’un coup, la respiration coupée. Bercé par ta voie j’ai fini par me rendormir, je ne sais plus si j’ai rêvé d’elle, mais quand je me suis réveillé j’avais le sourire de t’entendre raconter un moment de la journée qu’on avait partagé. J’espère qu’on se reverra bientôt, et j’espère qu’on continuera de se plaire, j’espère aussi ne rien espérer de plus.